Selon France Musique, la lecture au scalpel d’Osmo Vänskä à la tête de l’Orchestre du Minesotta sait chanter, sourire, s’attrister, et convient en particulier au premier mouvement, dont la mosaïque brille de tous ses feux. Le Ruhevoll joue la carte du raffinement et de l’abstraction, sans, peut-être, la chair et la vibration espérées. On loue, dans le IV, l’entente rêvée entre une Carolyn Sampson au plus proche du texte et l’art exquis d’un chef coloriste.
Personnellement,la couleur vient de la qualité sonore qui embaume...