AMHA, plantage de Thierry H sur ce coup (voir d'ailleurs une critique négative sur le site). Si le côté charnel des médiums aigus charme beaucoup, la spatialisation est ratée, enregistrements des instruments trop près et bouillie finale (j'exagère un peu, mais il y a de cela).
C'est l'aération -évidemment supérieure à la moyenne des CD de 2007- qui sauve la note.